... Happy New Millennium ...
It was a joke..!!.. W2K is OK..!!


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extrait de: " ... en sourdine... "


  • Isis est blessée ... Ses fils! Déchirures!...
  • La voix baillonnée ... Agonie! Tortures!...
  • Ses ailes versent le sang:"- Donatistes d'Augustin!"
  • Qui ruiselle fraternel ! Pour irriguer le coeur dur,
  • Ni larmes... Ni pitié , et l'invisible attend sa fin...
  • " - Le temps me vit, insupportable, de mon siècle , il est minuit !
  • ...Qui explique, l'insaisissable, à ma douleur, n'a rien compris !",
  • Douce colombe, à peine née, me le murmure toutes les nuits ,
  • Oreille blessée, écoute sa plainte, attentive, où, me le dit:
  • ..."- La moelle sucée, qui me dévorent, maraudeurs puants, non assouvis ,
  • Qui l'ont rongé, mon noble corps, arsouille, arpaille, des pourris ,
  • Depuis longtemps, et sans remords, approprié, qui le saignaient ,
  • Réptilien de l'ombre, intronisé, de ses rolands, qui le nourrit!...
  • Rebèl castré, mis à genoux, cherche à survivre, le soumis,
  • Oligarchie, et ses prépendes, qui continue, une gabegie,
  • Néron, et sa lyre, qui brûle sa Rome, d'aucun ne peut le juger ,
  • Et ses montagnes, plaquées en or, sur chaque épaule, point fatiguée ,
  • Encore vivante, m'ont mise à mort, vulgaires hyànes affamées,
  • Cathards macabres, cachés le soir, charcutent mes anges, nécrophagie!
  • Hâchées, mutilés, aucune pitié, sabrés à tort, la foi qui tue,
  • Absurdistan, l'ont pétrifié, diable et Dieu confondus!
  • À l'ère du net et de Rocky, pour rebondir, j'ai point d'appui,
  • La caisse opaque, nauséabonde, dense fumée, qui l'obscursit,
  • Qui expliquent, l'insaisissable, à ma douleur, n'ont rien compris!"...

  • Abandonnée, lâches conscients, des clônes, les travestis,
  • Qui s'infibulent, drôles de gardons, au nom du luxe inoui ,
  • Le vampire suce, délicieux... Le vol interdit.
  • "..Tu voleras, certainement, douce colombe, malgré blessures,
  • ...Et sa haine, et les lâches, manichéens, ou qui frottent les mains...

  • ..."- Qui te souhaitent de mauvais sorts, jaloux cachés non avoués ,
  • De ton silencieux trésor, sur l'autel sacrifié...",
  • Qui, déjà, se frottent les mains, de le voir charcuté ,
  • Qui n'attendent que ta fin ou à genoux les supplier ,
  • Rajoutent du sel , en suspend, sur une blessure point fermée,
  • Qui se jouent de leurs pantins, goulus scorpions, à grappiler,
  • Devenus dards, les mesquins, tes lâches fils , à guelter,
  • Qui distilent leur venin, une semence empoisonnée,
  • Qui a germé en ton sein, nauséeux pyomètre àamputer ,
  • Ces travestis, fils de putain, cancer profond, futur danger!"...

  • Faire confiance à un clône, sans éthique et sans âme,
  • Bon sujet, d'aujourd'hui, qui se plie, lèche botte,
  • L'hypocrite au sourire jaune, qui s'exécute sans faute,
  • Mais, demain, dans le dos, vous plantera la même lame ...
  • La forêt point ne se méfie de la hâche qui y rentre,
  • "- Sa manche est de bois!", pense-t-elle,"- Ne tue pas! Elle est des nôtres!"...

  • Si elle s'invente dans le sang, ridicules pantins!
  • En colère, enragée , vous jugera tous demain!
  • Mordez vos doigts, ce jour là! Inutile morsure,
  • Sucez votre propre sang, votre tour enfin!}
  • Charognards! Somnolents! Elle est maître de son destin.
  • Buvez-le , puants! Le remords ne sert à rien!
  • Haut, déjà, petites gens, s'élève libre dans l'azur,
  • Vous ne pouvez l'atteindre plus, de votre sale souillure!
  • Avalez-le, maintenant, le vomis, votre propre venin...

  • ...Qui se retirent, d'un doux sommeil, des apathiques engourdis,
  • Carpes muettes, qui se réveillent, de lit de plumes, où coule douce vie,
  • Paroles poreuses, du tape à l'oeil, que sais-je, acrimonie ,
  • Que ce qu'ils pèsent, n'ont plus de poids , pour sauver ton aurà souillée,
  • Sagesse infuse, ne sont plus là, de leur vivant, qui t'ont fleurie ...
  • .. Douleur muette, à fleur de peau, en sourdine, étoufféee,
  • Magma brûlant .. "- Que terre s'apaise!"..Vermifuges . Nécrophagie,
  • Devant l'autisme, assourdissant, les Namachois, les travestis,
  • L'opaque, l'obscure, qui s'étrangle, la caisse puante, sa dense fumée,
  • Ne voit du trésor que sa gangue, les bassiner, mille clich\'es,
  • Les fagaucytes, des béats, les nombriliques, ces perroquets,
  • Une méduse, qui va trop vite, pour les frapper, sans pitié..
  • Ou, paternalistes, gesticulants, qui expliquent l'incompris ,
  • Grattent son histoire, en segment, des culottés insolents,
  • N'ont rien compris, de la leçon, se brûlent déjà, flagellation.
  • L'indécodable, l'imprévisible , et ses coups de reins salvateurs,
  • Mis à genoux, volonté d'airain, implore pitié, rebel castré,
  • À qui n'entend, l'indifférent, sans un son, hurle sa douleur,
  • Sa muette révolte, l'impuissant, ne peut bander, pour l'instant...

  • De ses cendres, certainement, renaîtra, s'il aura le temps .
  • ... Elles ont choisi alors lumière , venir au monde le même jour,
  • Pressées de vivre, sentir l'air, de même sang, vivre destin,
  • L'une plombée crie, muette, et, demande secours,
  • À qui n'entend, en liturgie, où, abyssé, ne voit plus rien,
  • L'abductè à l' Alibéla, devenu sourd, ne trouve soutien.
  • L'autre, un magma, bouillonnant jusqu'au petit matin,
  • Qui crache, vomis, dans ses entrailles pesait lourd,
  • Sa douleur des bogomiles, cannibales en plein jour!.

  • ... Qui se poussent chaotiques, pour sortir de la tête,
  • En douleur de son feu, la dèlivrent de la bête,
  • D'une oreille, martellée, attentive, mais muette,
  • Qui écoute leurs ébats, sans amour, faire la fête,
  • Des méduses, tentaculaires, aux multiples facettes,
  • Enlacer leurs clônes, ou les carpes en cachettes..
  • Qui est l'une? Qui est l'autre? Pour prétendre à la vie,
  • En commun, dans ce bas, sans moral, sans pitié,
  • Où il coule, fraternel! Toute l'éthique bafouée,
  • Le sacré diabolisé... Des clônes, les travestis,
  • Les charognards sucent, délicieux, des vampirs assoiffés...
  • "-Éloignez-vous! Des immondices! Restez pures, vous êtes saints!
  • Vous cautionneriez, alors, des hypocrites, les malsaints!..."
  • Quand le temps, sans défense, opprimé, est orphelin,
  • Que l'homme, le primitif, piétine encore avec dédain.
  • "...Belles jumelles que vous êtes , vous n'aurez pas le même destin!.."







Réalisation: Sèlim Bouras  .!!..  سَليم  ُبوراس   - ® Tous droits réservés © / 2000.
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Sèlim, BOURAS...  سَليم  ُبوراس